Association des Soins Palliatifs de la Martinique
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Questionnaire d’évaluation des connaissances des soignants
Afin d’évaluer l’efficacité de la formation ainsi que votre progression, nous vous demandons de renseigner ce questionnaire d’évaluation des connaissances en 20 questions.
Cochez la ou les bonnes réponses.
1. L’accès aux soins palliatifs est garanti par la loi à toute personne en fin de vie depuis
1987
1999
2005
2016
2. Savez-vous ce que sont les soins palliatifs ?
A- Des soins pratiqués par une équipe pluridisciplinaire ?
B-Le soulagement de la douleur ?
C- Le soulagement de la souffrance morale ?
D- Le soutien et l’accompagnement des proches ?
3. Les soins palliatifs :
A- ils peuvent concerner les nouveaux nés
B- ils peuvent concerner les personnes handicapées
C- ils sont destinés uniquement aux personnes atteintes de cancer.
D- ils sont destinés uniquement aux patients qui ne reçoivent plus de traitement spécifique
E- ils sont destinés uniquement aux patients atteints d’une maladie létale en phase avancée ou terminale
4. Les soins palliatifs
A- ils ne peuvent être associés à des soins curatifs
B- ils ne concernent que les patients en situation de cancer avancé
C- ils s’intègrent le plus tôt possible
D- ils entrent dans une démarche de soins dits continus
E- ils ne concernent pas que les patients en phase terminale
5. L’accompagnement :
A. Consiste à endormir le patient pour éviter toute souffrance.
B. A pour objectif l’amélioration de la survie du patient.
C. Concerne également la famille du patient pris en charge.
D. Est une forme de solidarité envers autrui.
E. Consiste à orienter les décisions du patient vers un objectif donné.
6. Les proches peuvent-ils bénéficier pour accompagner un patient ?
A. d’un congé spécifique
B. d’une allocation journalière
7. L’évaluation de la douleur chez les personnes non communicantes verbalement ?
A. Est inutile puisqu’il n’y a pas de plainte formulée
B. Peut recourir à l’échelle visuelle analogique EVA
C. Repose sur l’appréciation subjective du soignant
D. Nécessite l’utilisation d’échelles d’hétéro-évaluation telles Algoplus, Doloplus ou ECPA
8. Concernant l’usage de la morphine
A- Il existe une dose maximale en fonction du poids
B- Il existe une dose maximale en fonction de l’âge
C- Est prescrite en fonction de la réponse analgésique dans la limite des effets secondaires importants
D- Est formellement contre-indiquée en cas d’antécédents de toxicomanie
9. La titration de morphine consiste en :
A- Injection de deux doses de morphine
B- Injections répétées de doses de morphine jusqu’à l’obtention d’une bonne analgésie
C- Injections répétées de doses de morphine jusqu’à l’apparition d’effets indésirables
D- Injections toutes les 4 heures
10. Concernant la surveillance d’un patient sous morphine
A- Le premier élément de surveillance est l’analgésie.
B- Les effets secondaires imposent l’arrêt du traitement.
C- La somnolence peut être un signe de surdosage et impose la surveillance de la FR
D- Le myosis est un signe de surdosage en morphine
E- La constipation est rare
11. Concernant les thérapeutiques en soins palliatifs
A- Le traitement étiologique d’un symptôme doit tenir compte de la balance bénéfice risque
B- Le traitement symptomatique doit être proposé de préférence en intraveineux
C- Si la voie orale est impossible, la voie sous cutanée est généralement à privilégier
D- Le traitement symptomatique doit être proposé de préférence par voie per os
12. Concernant l’usage des sondes naso-gastriques dans les occlusions sur carcinose péritonéale non opérable
A. Le maintien d’une bonne hygiène buccale est fondamental.
B. La pose d’une sonde naso-gastrique est systématique.
C. L’utilisation d’antiémétique et de corticoïdes est recommandée.
D. La prescription de morphinique est contre indiquée car elle favorise l’aggravation de l’occlusion.
E. L’hydratation et/ou l’alimentation parentérale peuvent être arrêtées en cas d’œdème diffus.
13. Concernant l’usage des sondes naso-gastriques dans les occlusions sur carcinose péritonéale non opérable
A. la sonde naso-gastrique supprime le plus souvent les nausées et les vomissements.
B. la sonde naso-gastrique diminue les sensations d’inconfort abdominal.
C. la sonde naso-gastrique ne contre indique pas l’hydratation ou l’alimentation liquide orale.
D. il faut systématiquement reposer la sonde naso-gastrique si le patient l’arrache en cas de confusion ou démence.
E. la sonde naso-gastrique peut altérer la perception de soi ou la rencontre avec autrui.
14. Concernant la confusion chez un patient en phase avancée ou terminale d’une maladie létale :
A. elle est souvent d’origine plurifactorielle
B. le traitement de la cause supposée permet toujours la résolution de la confusion
C. il vaut mieux privilégier les neuroleptiques aux benzodiazépines pour le traitement symptomatique car ces dernières sont potentiellement confusionnelles
D. elle ne justifie pas toujours une prise en charge médicamenteuse
E. il est important d’épurer le traitement médicamenteux afin d’éliminer une cause iatrogène
15. A propos de l’anxiété en phase avancée ou terminale d’une maladie létale :
A. il peut exister une cause organique génératrice d’anxiété
B. les moyens médicamenteux sont les seuls traitements symptomatiques possibles
C. le recours à d’autres intervenants ou à d’autres techniques peut être un apport en complément ou non des traitements médicamenteux
D. elle est pathologique chez un patient en fin de vie
E. l’anxiolyse par voie injectable est à privilégier
16. Concernant le traitement symptomatique de l’état buccal :
A- Les patients en phase terminale ne ressentent pas pour la plupart la sensation de soif si des soins de bouche réguliers sont effectués
B- l’hydratation parentérale améliore systématiquement la sensation de soif et le confort.
C- l’utilisation de coca-cola ou de cidre est possible
D- L’oxygénothérapie dès que la saturation est inférieure à 94 %
E- Les anticholinergiques en cas d’encombrement après avoir posé une sonde urinaire vu le risque de rétention aiguë d’urine
17. En absence de traitement étiologique possible, quel est le traitement médicamenteux symptomatique de la dyspnée ?
A- la morphine uniquement si la saturation en oxygène > 94 %
B- les neuroleptiques si angoisse car ils n’induisent pas de dépression respiratoire comme les benzodiazépines
C- les anticholinergiques(SCOPOLAMINE, SCOBUREN) en cas d’encombrement
D- l’oxygénothérapie systématiquement
18. En l’absence de traitement étiologique possible, concernant la dyspnée :
A- son évaluation repose exclusivement sur les paramètres ventilatoires : fréquence respiratoire et saturation en O2
B- elle peut s’apprécier à l’aide d’une EVA
C- la saturation en O2 est son reflet
D- la mise en place d’une oxygénothérapie est à discuter
E- la mise en place d’un traitement morphinique est à discuter
19. Concernant la phase terminale :
A- L’agonie signifie étymologiquement la lutte
B- elle ne peut durer plus de 4 heures
C- la première étape est réversible, il s’agit de la phase pré agonique
D- l’agonie est marquée par une disparition du réflexe cornéen
E- la seconde étape est irréversible, il s’agit de la phase agonique
20. Concernant les traitements, les soins et l’accompagnement lors de l’agonie :
A- la réduction précoce des apports hydriques artificiels permet d’essayer de réduire les râles agoniques
B- l’évaluation de la douleur reste indispensable
C- l’introduction anticholinergiques(SCOPOLAMINE-SCOBUREN…) peut se justifier
D- l’appel aux proches peut être nécessaire
E- la mise en œuvre de MIDAZOLAM est indispensable
Time is Up!